Réunion d'information sur l'adoption

Publié le par Stéphanie

Réunion d'information sur l'adoption

Mercredi 4 Décembre, nous avons passé la matinée au Service Adoption et Droits de l'Enfant pour assister à une réunion d'information sur l'adoption.

Ils ont bien expliqué et détaillé qu'ils cherchaient des parents pour un enfant et non l'inverse. Tout est dans l'intérêt de l'enfant, c'est pour ça qu'il y a enquête sociale, psychologique des parents potentiels.

J'étais contente que la psychologue aborde ce qui m'inquiète le plus, elle a dit que quelques fois on parle que les parents sans enfant doivent faire le "deuil de l'enfant biologique", mais comme elle l'a si bien expliqué on ne peut pas faire le deuil de quelque chose qu'on n'a pas eu, par contre il faut avoir renoncer car la démarche de l'adoption est vraiment différente. Bon nous ne sommes pas encore dans cette optique et on verra bien comment ils le prennent, nous le tournerons différemment quand ils nous interrogerons à ce sujet. En tout cas, nous dirons que nous avons arrêtés les traitements car souvent ils disent qu'on ne peut pas faire les cheminements en parallèle.

Une demande sur dix seulement aboutit à l'arrivée d'un enfant dans le foyer, ça paraît incompréhensible quand on se dit qu'il y tant d'enfants dans le besoin mais tout est une histoire d'administration, tous ne sont pas adoptables ..

Ils ont parlé des différences ethniques et des problèmes de santé que les enfants peuvent avoir car il faut être certain qu'on est prêts à assumer tout ça. Selon le pays d'origine, on est quasiment sûr d'avoir un enfant avec une pathologie.

Il y aura donc 3 à 4 entretiens sociaux et un entretien chez un psychiatre. Le premier rendez-vous avec l'assistant(e) social(e) sera la rencontre et la visite de la maison. Ils s'assurent qu'il y a de quoi accueillir un enfant mais il n'est pas nécessaire d'avoir déjà la chambre aménagée, il faut juste qu'il y ait une pièce. Lors des rendez-vous suivants, ils nous interrogerons sur notre vie de couple, l'absence d'enfant, pourquoi l'adoption, notre passé, l'intégration éventuelle dans l'environnement familial, la différence ethnique possible, le projet d'accueil et j'en passe.

A la fin de tout cela, nous recevons une synthèse écrite que nous pouvons contester au cas où nous ne sommes pas satisfaits.

Ensuite une commission donne son accord ou non. Là aussi il y a un recours possible en cas de refus.

Ils ont passé la deuxième partie de la réunion à détailler l'adoption à l'étranger, présenter les organismes etc.

Nous voilà avec la plupart des explications du cheminement. Il nous reste plus qu'à remplir le dossier et le renvoyer pour lancer la machine.

J'étais contente que la psychologue aborde ce qui m'inquiète le plus, elle a dit que quelques fois on parle que les parents sans enfant doivent faire le "deuil de l'enfant biologique", mais comme elle l'a si bien expliqué on ne peut pas faire le deuil de quelque chose qu'on n'a pas eu, par contre il faut avoir renoncer car la démarche de l'adoption est vraiment différente. Bon nous ne sommes pas encore dans cette optique et on verra bien comment ils le prennent, nous le tournerons différemment quand ils nous interrogerons à ce sujet. En tout cas, nous dirons que nous avons arrêtés les traitements car souvent ils disent qu'on ne peut pas faire les cheminements en parallèle.

Une demande sur dix seulement aboutit à l'arrivée d'un enfant dans le foyer, ça paraît incompréhensible quand on se dit qu'il y tant d'enfants dans le besoin mais tout est une histoire d'administration, tous ne sont pas adoptables ..

Ils ont parlés des différences ethniques et des problèmes de santé que les enfants peuvent avoir car il faut être certain qu'on est prêts à assumer tout ça. Selon le pays d'origine, on est quasiment sûr d'avoir un enfant avec une pathologie.

Il y aura donc 3 à 4 entretiens sociaux et un entretien chez un psychiatre. Le premier rendez-vous avec l'assistant(e) social(e) sera la rencontre et la visite de la maison. Ils s'assurent qu'il y a de quoi accueillir un enfant mais il n'est pas nécessaire d'avoir déjà la chambre aménagée, il faut juste qu'il y ait une pièce. Lors des rendez-vous suivants, ils nous interrogerons sur notre vie de couple, l'absence d'enfant, pourquoi l'adoption, notre passé, l'intégration éventuelle dans l'environnement familial, la différence ethnique possible, le projet d'accueil et j'en passe.

A la fin de tout cela, nous recevons une synthèse écrite que nous pouvons contester au cas où nous ne sommes pas satisfaits.

Ensuite une commission donne son accord ou non. Là aussi il y a un recours possible en cas de refus.

Ils ont passé la deuxième partie de la réunion à détailler l'adoption à l'étranger, présenter les organismes etc.

Nous voilà avec la plupart des explications du cheminement. Il nous reste plus qu'à remplir le dossier et le renvoyer pour lancer la machine.

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